Quelques nouvelles d'Andreacini

Commencée il y a deux ans, l'écriture de La Vie du peintre et tableaumane Andreacini est terminée ; mais le travail n'est pas achevé : il convient maintenant de relire la préface et les trente-trois chapitres qui composent cette biographie ; relecture qui prendra, je pense, plusieurs semaines. Il s'agit avant tout de faire les changements commandés par le passage d'une publication sur le blog à une édition papier ; de corriger les erreurs, d'unifier le style, de s'assurer de la pertinence des passages érotiques et de supprimer les redites inutiles. 

Ce qui n'aurait dû être qu'une nouvelle s'est transformé en long roman. Mais je crois que la passion du personnage principal pour la peinture, art qui est en lui-même un sujet infini, et son amour fou pour Sélim Kérir ne pouvaient être assez exprimés dans un court récit ; ou c'est du moins quelque chose qui n'est pas à portée de mon talent.  

Lorsque le travail de relecture aura été achevé, il sera temps de trouver un éditeur, ou, si cette entreprise ne réussit pas, d'assurer moi-même la publication du livre. 

Avant cela, j'aurais recommencé, après plusieurs mois d'interruption (ce qui n'était jamais arrivé depuis quinze ans), à travailler sur La Vie d'Oru, d'abord en publiant une nouvelle édition des trois premiers tomes, pour lesquels un certain nombre de corrections sont nécessaires, puis en entreprenant la rédaction du cinquième tome de la série.